ORDOÑO LOPEZ Francisco : Différence entre versions
m |
m |
||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
__NOTOC__ | __NOTOC__ | ||
− | [[Fichier:Francisco-Ordoño-Lopez.jpg|100px|thumb|left|Paco Ordoño Lopez en mars 1937 | + | [[Fichier:Francisco-Ordoño-Lopez.jpg|100px|thumb|left|Paco Ordoño Lopez en mars 1937]] |
<br /> | <br /> | ||
ORDOÑO LOPEZ, Francisco (1904-1962) | ORDOÑO LOPEZ, Francisco (1904-1962) |
Version du 4 février 2015 à 21:22
ORDOÑO LOPEZ, Francisco (1904-1962)
Né le 5 février 1904 à Alhama de Almería (Andalousie), Francisco Ordoño Lopez rejoint en 1922 ses deux frères qui vivent à Paris.
Il s’installe à Rueil-Malmaison avec sa compagne Barbara Maria Pelayo avec qui il aura trois enfants.
Il devient ouvrier spécialisé et travaille chez Renault, puis chez Bernard Moteurs. « C’est par le syndicalisme qu’il commença une vie militante qui allait le rapprocher du PCF » (témoignage, p4)
En 1936, il exerçait la profession de frappeur et était domicilié rue Dumouriez à Rueil-Malmaison (Seine-et-Oise)
L’Espagne
En octobre ou novembre 1936, il part en Espagne. Deux photos prises à Albacete le 1er janvier 1937, le montrent saluant le poing levé. Hormis quelques photos, sa petite fille Marie-Josèphe Le Pourhiet- De Sousa n’a trouvé aucun document sur son passage en Espagne.
Le retour
La santé de sa compagne se dégradant, il rentre en France en 1938. Hospitalisée à l’hôpital de Saint-Germain en Laye, sa compagne est évacuée et internée à l’hôpital psychiatrique de Bonneval où elle meurt en décembre 1941 « victime de l’institution psychiatrique française sous Vichy ».
La Résistance
Pendant les premières années de l’occupation, Francisco Lopez Ordoño fait plusieurs voyages à Bordeaux « pour y rencontrer des compagnons républicains espagnols ».
Il quitte la région parisienne et s’installe avec ses deux enfants à Champlemy (Nièvre). Jusqu’à la Libération, Francisco Lopez Ordoño travaille comme bucheron et ouvrier agricole. Il collabore avec la Résistance, et héberge des aviateurs.
Il se remarie en 1949.
Il fut tué accidentellement par un chasseur en 1962
Source
Histoire de mon grand-père (Témoignage écrit de sa petite-fille, Marie-Josèphe Le Pourhiet- De Sousa)