CADICH Georges : Différence entre versions

De Encyclopédie : Brigades Internationales,volontaires français et immigrés en Espagne (1936-1939)
Sauter à la navigation Sauter à la recherche
Ligne 25 : Ligne 25 :
 
==Source==  
 
==Source==  
 
RGASPI (BDIC, Mfm 880/8, 545.6.1106)
 
RGASPI (BDIC, Mfm 880/8, 545.6.1106)
RGASPI (Moscou, 545.6.441)
+
et (Moscou, 545.6.441)
[[Catégorie:Brigadistes]][[Catégorie:Formation Militaire : Légion]] [[Catégorie:Fumiste]][[Catégorie:PCF]][[Catégorie: Célibataire]][[Catégorie: Paris 13e]] [[Catégorie: Arrivée en espagne: Octobre 1936]][[Catégorie: 13e BI]] [[Catégorie: Blessés]]
+
[[Catégorie: Brigadistes]] [[Catégorie: Age: 21 à 25 ans]] [[Catégorie: Formation Militaire : Légion]] [[Catégorie: Fumiste]] [[Catégorie: PCF]] [[Catégorie: Célibataire]] [[Catégorie: Paris 13e]] [[Catégorie: Arrivée en espagne: Octobre 1936]] [[Catégorie: 13e BI]] [[Catégorie: Blessés]]

Version du 26 avril 2018 à 11:35

Georges Cadich est né en 1914.

Il a été tirailleur dans la Légion étrangère.

Exerçant la profession de fumiste, il était membre du PCF depuis 1933.

Célibataire, il habitait lors de son départ pour l’Espagne, 70, rue de la Glacière à Paris (13e).

L’Espagne

Georges Cadich arrive en Espagne le 17 octobre 1936.

Il est affecté au 11e Bataillon « Louise Michel » de la 13e BI.

Grand blessé, il est rapatrié en France en 1937 et sera soigné en URSS. Une fiche manuscrite, non datée et non signée, indique que le 15 juillet 1939, il se trouvait en URSS.

Dans ce pays, Georges Cadich a fait l’objet d’une plainte de deux femmes à la suite d’une violente altercation.

André Marty, dans une note du 1er octobre 1940, défend ce camarade, grièvement blessé, ivre au moment des faits et qui s’est laissé entraîner par un camarade provocateur.

Il précise que les responsabilités de l’incident sont partagées entre les différents protagonistes et qu’« enfin contrairement aux décisions du secrétariat, j’ai (Marty) été le seul camarade à faire une assemblée de formation aux volontaires internationaux. Le représentant du secrétariat s’y est rendu et a fait une assemblée d’information aux seuls camarades allemands. Il ne faut pas s’étonner si n’apportant pas d’aide politique à ces camarades qui sont presque tous des grands blessés, des moments d’énervement se produisent ».

Pour André Marty, l’envoi de Georges CADICH devant le tribunal est une injustice.

Rémy Skoutelsky, dans son livre L’espoir guidait leurs pas le cite : « un certain Cadich, hébergé à l’hôtel Lux de Moscou » (p 274) et renvoie à Arch. CRCEDHC 517.3.26.

Source

RGASPI (BDIC, Mfm 880/8, 545.6.1106) et (Moscou, 545.6.441)