Catégorie:Bagnolet : Différence entre versions
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<blockquote> « On était bien 35 à 40 gars de Bagnolet à partir là-bas. Les premiers à partir ont été les deux Cossart, Voltaire et Francisco ; les Lefort, Drouin, Polcri, Garrigou… » (''Gens de Bagnolet'', p 45)</blockquote> | <blockquote> « On était bien 35 à 40 gars de Bagnolet à partir là-bas. Les premiers à partir ont été les deux Cossart, Voltaire et Francisco ; les Lefort, Drouin, Polcri, Garrigou… » (''Gens de Bagnolet'', p 45)</blockquote> | ||
Après la fin de la guerre d’Espagne, des internationaux évadés des camps français, ont été caché par des habitants de Bagnolet : | Après la fin de la guerre d’Espagne, des internationaux évadés des camps français, ont été caché par des habitants de Bagnolet : | ||
<blockquote> « Beaucoup de Bagnoltais ont hébergé des Brigadistes illégaux. | <blockquote> « Beaucoup de Bagnoltais ont hébergé des Brigadistes illégaux. | ||
− | La maison de Marcel Marteau a hébergé des camarades bulgares, membres du Comité central, | + | La maison de Marcel Marteau a hébergé des camarades bulgares, membres du Comité central, en attendant leur départ pour l’URSS. Chez une camarade qu’on appelait Titine, rue Marie-Anne-Colombier, j’avais installé une douzaine de brigadistes et elle était leur cantinière. La famille Achalme, [ (voir biographie [[ACHALME_Georges|Georges ACHALME]]) ] dans les Coutures, a hébergé et adopté un camarade bulgare, malade, qui a décédé par la suite à Tenon. » ([[ROBERT_Yvonne|Yvonne ROBERT]], ''Gens de Bagnolet'', p 54) </blockquote> |
==Sources== | ==Sources== | ||
''Gens de Bagnolet'', Mairie de Bagnolet, 1994 | ''Gens de Bagnolet'', Mairie de Bagnolet, 1994 | ||
[[Catégorie: Seine]] | [[Catégorie: Seine]] |
Version du 24 avril 2019 à 14:52
Selon le témoignage de Lucien BECRET (voir sa biographie) :
« On était bien 35 à 40 gars de Bagnolet à partir là-bas. Les premiers à partir ont été les deux Cossart, Voltaire et Francisco ; les Lefort, Drouin, Polcri, Garrigou… » (Gens de Bagnolet, p 45)
Après la fin de la guerre d’Espagne, des internationaux évadés des camps français, ont été caché par des habitants de Bagnolet :
« Beaucoup de Bagnoltais ont hébergé des Brigadistes illégaux. La maison de Marcel Marteau a hébergé des camarades bulgares, membres du Comité central, en attendant leur départ pour l’URSS. Chez une camarade qu’on appelait Titine, rue Marie-Anne-Colombier, j’avais installé une douzaine de brigadistes et elle était leur cantinière. La famille Achalme, [ (voir biographie Georges ACHALME) ] dans les Coutures, a hébergé et adopté un camarade bulgare, malade, qui a décédé par la suite à Tenon. » (Yvonne ROBERT, Gens de Bagnolet, p 54)
Sources
Gens de Bagnolet, Mairie de Bagnolet, 1994
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