CHAMBRETTE Albert : Différence entre versions

De Encyclopédie : Brigades Internationales,volontaires français et immigrés en Espagne (1936-1939)
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Après avoir franchi illégalement la frontière (voir article [[Passage clandestin des Pyrénées]]) avec un groupe de volontaires, Albert Chambrette  rejoint [[Figueras]], via  Massanet, le 26 juin  1937.
 
Après avoir franchi illégalement la frontière (voir article [[Passage clandestin des Pyrénées]]) avec un groupe de volontaires, Albert Chambrette  rejoint [[Figueras]], via  Massanet, le 26 juin  1937.
  
Affecté d’abord au 10<sup>e</sup> Bataillon de la 14<sup>e</sup> BI, il est ensuite muté, le 22 janvier 1938, au service transport  (OJ n° 281).
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Affecté d’abord au 10<sup>e</sup> Bataillon de la 14<sup>e</sup> BI, il est ensuite muté, le 5 septembre 1937, au service transport  (OJ n° 185).
 
Il participe à tous les combats de la 14<sup>e</sup> BI jusqu'au retrait des brigades.
 
Il participe à tous les combats de la 14<sup>e</sup> BI jusqu'au retrait des brigades.
 
Durant son engagement en Espagne il adhère à  l'UGT.
 
Durant son engagement en Espagne il adhère à  l'UGT.

Version du 4 février 2024 à 13:26

François Chambrette est né le 13 novembre 1906 à Darnets (Corrèze).

Après des études primaires, il deviendra chauffeur à Paris.

Suite à la conscription, il effectue son service militaire dans la Marine. Rendu à la vie civile, il reprend son emploi de chauffeur et adhère à l'Union Syndicale et Professionnelle des Conducteurs d'Automobiles de France (USCAF).

Avant son départ comme volontaire en Espagne républicaine, il résidait 30, boulevard de l'Hôpital à Paris (5e).

L'Espagne

Après avoir franchi illégalement la frontière (voir article Passage clandestin des Pyrénées) avec un groupe de volontaires, Albert Chambrette rejoint Figueras, via Massanet, le 26 juin 1937.

Affecté d’abord au 10e Bataillon de la 14e BI, il est ensuite muté, le 5 septembre 1937, au service transport (OJ n° 185). Il participe à tous les combats de la 14e BI jusqu'au retrait des brigades. Durant son engagement en Espagne il adhère à l'UGT.

Lucien BIGOURET (voir la biographie de ce volontaire)) le qualifie de : « volontaire ayant une bonne conduite, soldat chauffeur au service transport a toujours fait son devoir et s'est montré particulièrement courageux » avec une « excellente discipline, [il] s'est montré vigilent et a contribué à maintenir le bon moral de ses camarades ».

Rapatrié le 13 novembre 1938, il demande à rejoindre Paris (13e) où demeurent sa mère et sa sœur.

Sources

RGASPI (Moscou, F. 545. Op. 6. D. 35 et 1117).