Catégorie:Bagnolet : Différence entre versions

De Encyclopédie : Brigades Internationales,volontaires français et immigrés en Espagne (1936-1939)
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<blockquote> « On était bien 35 à 40 gars de Bagnolet à partir là-bas. Les premiers à partir ont été les deux Cossart, Voltaire et Francisco ; les Lefort, Drouin, Polcri, Garrigou… » (''Gens de Bagnolet'', p 45)</blockquote>  
 
<blockquote> « On était bien 35 à 40 gars de Bagnolet à partir là-bas. Les premiers à partir ont été les deux Cossart, Voltaire et Francisco ; les Lefort, Drouin, Polcri, Garrigou… » (''Gens de Bagnolet'', p 45)</blockquote>  
  
Après la fin de la guerre d’Espagne, des internationaux évadés des camps français, ont été caché par des habitants de Bagnolet :  
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Après la fin de la guerre d’Espagne, des internationaux évadés des camps français, ont été cachés par des habitants de Bagnolet :  
 
<blockquote> « Beaucoup de Bagnoltais  ont hébergé des Brigadistes illégaux.
 
<blockquote> « Beaucoup de Bagnoltais  ont hébergé des Brigadistes illégaux.
 
La maison de Marcel Marteau a hébergé des camarades bulgares, membres du Comité central, en attendant leur départ pour l’URSS. Chez une camarade qu’on appelait Titine, rue Marie-Anne-Colombier, j’avais installé une douzaine de brigadistes et elle était leur cantinière. La famille Achalme, [ (voir biographie [[ACHALME_Georges|Georges ACHALME]]) ] dans les Coutures, a hébergé et adopté un camarade bulgare, malade,  qui a décédé par la suite à Tenon. »  ([[ROBERT_Yvonne|Yvonne ROBERT]], ''Gens de Bagnolet'', p 54) </blockquote>  
 
La maison de Marcel Marteau a hébergé des camarades bulgares, membres du Comité central, en attendant leur départ pour l’URSS. Chez une camarade qu’on appelait Titine, rue Marie-Anne-Colombier, j’avais installé une douzaine de brigadistes et elle était leur cantinière. La famille Achalme, [ (voir biographie [[ACHALME_Georges|Georges ACHALME]]) ] dans les Coutures, a hébergé et adopté un camarade bulgare, malade,  qui a décédé par la suite à Tenon. »  ([[ROBERT_Yvonne|Yvonne ROBERT]], ''Gens de Bagnolet'', p 54) </blockquote>  

Version actuelle datée du 7 septembre 2019 à 23:17

Selon le témoignage de Lucien BECRET (voir sa biographie) :

« On était bien 35 à 40 gars de Bagnolet à partir là-bas. Les premiers à partir ont été les deux Cossart, Voltaire et Francisco ; les Lefort, Drouin, Polcri, Garrigou… » (Gens de Bagnolet, p 45)

Après la fin de la guerre d’Espagne, des internationaux évadés des camps français, ont été cachés par des habitants de Bagnolet :

« Beaucoup de Bagnoltais ont hébergé des Brigadistes illégaux. La maison de Marcel Marteau a hébergé des camarades bulgares, membres du Comité central, en attendant leur départ pour l’URSS. Chez une camarade qu’on appelait Titine, rue Marie-Anne-Colombier, j’avais installé une douzaine de brigadistes et elle était leur cantinière. La famille Achalme, [ (voir biographie Georges ACHALME) ] dans les Coutures, a hébergé et adopté un camarade bulgare, malade, qui a décédé par la suite à Tenon. » (Yvonne ROBERT, Gens de Bagnolet, p 54)

Sources

Gens de Bagnolet, Mairie de Bagnolet, 1994

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