Catégorie:Chauffeurs taxi : Différence entre versions

De Encyclopédie : Brigades Internationales,volontaires français et immigrés en Espagne (1936-1939)
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Le syndicat prête son concours, également, au transport des blessés lors de leur arrivée à Paris.  
 
Le syndicat prête son concours, également, au transport des blessés lors de leur arrivée à Paris.  
Ainsi le convoi qui arrive à la [[Gare d’Austerlitz]] le 5 octobre 1938,  est accueilli, entre autres délégations, par « Depollier, Saint-Genest et Langlade, du syndicat des coches-chauffeurs. […] Tout près, rue Buffon, une trentaine de taxis ont été gracieusement mis à la disposition  de l’Amicale des volontaires par le syndicat des chauffeurs de taxis. Tout le monde s’en va rue d’Angoulême, au siège du syndicat des métaux, qui offre à tous les blessés un bon déjeuner ».
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Ainsi le convoi qui arrive à la [[Gare d’Austerlitz]] le 5 octobre 1938,  est accueilli, entre autres délégations, par « Depollier, Saint-Genest et Langlade, du syndicat des cochers-chauffeurs. […] Tout près, rue Buffon, une trentaine de taxis ont été gracieusement mis à la disposition  de l’Amicale des volontaires par le syndicat des chauffeurs de taxis. Tout le monde s’en va rue d’Angoulême, au siège du syndicat des métaux, qui offre à tous les blessés un bon déjeuner ».
 
(''L’Humanité'', 6 octobre 1938)
 
(''L’Humanité'', 6 octobre 1938)
  
 
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Version actuelle datée du 3 avril 2021 à 00:04

Quelques chauffeurs de taxis s’engagent dans les Brigades Internationales. Quatre d'entre eux, dont le secrétaire de la Chambre Syndicale des Cochers-Chauffeurs, Damien MAGNAVAL (voir sa biographie), partent ensemble et arrivent en Espagne le 19 avril 1938.

Le syndicat prête son concours, également, au transport des blessés lors de leur arrivée à Paris. Ainsi le convoi qui arrive à la Gare d’Austerlitz le 5 octobre 1938, est accueilli, entre autres délégations, par « Depollier, Saint-Genest et Langlade, du syndicat des cochers-chauffeurs. […] Tout près, rue Buffon, une trentaine de taxis ont été gracieusement mis à la disposition de l’Amicale des volontaires par le syndicat des chauffeurs de taxis. Tout le monde s’en va rue d’Angoulême, au siège du syndicat des métaux, qui offre à tous les blessés un bon déjeuner ». (L’Humanité, 6 octobre 1938)