Figueras : Différence entre versions
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| + | Les volontaires, après le passage de la frontière, étaient regroupés dans l’ancienne forteresse de la ville. De là, ils étaient dirigés, par chemin de fer (via Barcelone et Valencia) sur Albacete. | ||
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| + | Dès les premiers jours d’octobre, bien avant la création officielle des Brigades Internationales, des volontaires y sont rassemblés. Selon Luigi Longo, le 10 octobre 1936, il y avait 500 volontaires. | ||
| + | Le premier convoi, parti de Figueras, arrive à Albacete le 14 octobre (Luigi Longo, p 49). | ||
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| + | Si dans un premier temps, il y a un certain relâchement et confusion, peu à peu le centre va s’organiser. Les volontaires subissaient un examen médical et répondaient à un questionnaire. | ||
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| + | Les rapatriements seront également organisés à partir de cette ville. | ||
| + | ==Source== | ||
| + | Luigi Longo, Las Brigadas Internacionales en España, Ediciones Era, México, 1969 | ||
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Version actuelle datée du 19 novembre 2017 à 19:34
C’est dans cette ville de Catalogne, proche de la frontière, que la réception des volontaires et leur rapatriement sont organisés.
Les volontaires, après le passage de la frontière, étaient regroupés dans l’ancienne forteresse de la ville. De là, ils étaient dirigés, par chemin de fer (via Barcelone et Valencia) sur Albacete.
Dès les premiers jours d’octobre, bien avant la création officielle des Brigades Internationales, des volontaires y sont rassemblés. Selon Luigi Longo, le 10 octobre 1936, il y avait 500 volontaires. Le premier convoi, parti de Figueras, arrive à Albacete le 14 octobre (Luigi Longo, p 49).
Si dans un premier temps, il y a un certain relâchement et confusion, peu à peu le centre va s’organiser. Les volontaires subissaient un examen médical et répondaient à un questionnaire.
Les rapatriements seront également organisés à partir de cette ville.
Source
Luigi Longo, Las Brigadas Internacionales en España, Ediciones Era, México, 1969
