GOUDAL Jean : Différence entre versions
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| − | Parti de Toulon le 4 janvier 1938, Jean Goudal, après avoir franchi illégalement la frontière (voir article [[Passage clandestin des Pyrénées]] rejoint [[Figueras]], via | + | Parti de Toulon le 4 janvier 1938, Jean Goudal, après avoir franchi illégalement la frontière (voir article [[Passage clandestin des Pyrénées]] rejoint [[Figueras]], via Massanet, le 5 janvier, avec un groupe de 24 autres volontaires. |
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La dernière lettre reçue par sa femme datant du 10 mars 1938 et son nom apparaissant sur une liste des « cadres du parti communiste, commissaires de guerre et officiers » du 29 mars 1938 avec la mention « Actuellement XIV<sup>e</sup> Brigade », tout laisse penser qu’il a disparu dans les terribles combats d’Aragon (voir article [[Offensive franquiste d’Aragon]]). | La dernière lettre reçue par sa femme datant du 10 mars 1938 et son nom apparaissant sur une liste des « cadres du parti communiste, commissaires de guerre et officiers » du 29 mars 1938 avec la mention « Actuellement XIV<sup>e</sup> Brigade », tout laisse penser qu’il a disparu dans les terribles combats d’Aragon (voir article [[Offensive franquiste d’Aragon]]). | ||
Version du 30 avril 2018 à 18:09
GOUDAL Jean (1906-1938)
Jean Goudal est né le 26 septembre 1906 à Liévin (Pas-de-Calais).
Militant du PCF, il était secrétaire de la 3e section de Toulon.
Marié, il habitait 12, rue du Crabuc à Toulon (Var)
L’Espagne
Parti de Toulon le 4 janvier 1938, Jean Goudal, après avoir franchi illégalement la frontière (voir article Passage clandestin des Pyrénées rejoint Figueras, via Massanet, le 5 janvier, avec un groupe de 24 autres volontaires.
Il est affecté à la 14e BI, 10e Bataillon Vaillant-Couturier, 1ère Compagnie, le 11 janvier 1938. Il est nommé lieutenant.
La dernière lettre reçue par sa femme datant du 10 mars 1938 et son nom apparaissant sur une liste des « cadres du parti communiste, commissaires de guerre et officiers » du 29 mars 1938 avec la mention « Actuellement XIVe Brigade », tout laisse penser qu’il a disparu dans les terribles combats d’Aragon (voir article Offensive franquiste d’Aragon).
Source
AVER (MRN, carton n° 6)
RGASPI (BDIC)
