Bataillon Louise Michel : Différence entre versions
Sauter à la navigation
Sauter à la recherche
| Ligne 3 : | Ligne 3 : | ||
Le premier (le n° 7), formé à Mahora, sera absorbé par un autre bataillon de la 11<sup>e</sup> BI le 7 décembre 1936. | Le premier (le n° 7), formé à Mahora, sera absorbé par un autre bataillon de la 11<sup>e</sup> BI le 7 décembre 1936. | ||
| − | Le deuxième (le n° 11), formé également à Mahora, fut constitué fin novembre 1936. Il fut intégré à la 13<sup>e</sup> BI et participa à la Bataille de Teruel | + | Le deuxième (le n° 11), formé également à Mahora, fut constitué fin novembre 1936. Il fut intégré à la 13<sup>e</sup> BI et participa à la première Bataille de Teruel (voir [[Teruel (décembre 1936)]]). |
Les pertes lors de cette bataille furent si importantes que le bataillon sera fondu avec le « Henri Vuillemin » qui gardera son nom. | Les pertes lors de cette bataille furent si importantes que le bataillon sera fondu avec le « Henri Vuillemin » qui gardera son nom. | ||
Version actuelle datée du 30 janvier 2023 à 16:15
D’après Andreu Castells, il y eut deux bataillons portant le nom de cette héroïne de la Commune de Paris.
Le premier (le n° 7), formé à Mahora, sera absorbé par un autre bataillon de la 11e BI le 7 décembre 1936.
Le deuxième (le n° 11), formé également à Mahora, fut constitué fin novembre 1936. Il fut intégré à la 13e BI et participa à la première Bataille de Teruel (voir Teruel (décembre 1936)).
Les pertes lors de cette bataille furent si importantes que le bataillon sera fondu avec le « Henri Vuillemin » qui gardera son nom.
Bibliographie :
Andreu Castells, Las Brigadas Internacionales en España, Ariel, Barcelona, 1974.
Delperrié de Bayac, Les Brigades Internationales, Fayard, 1968.
