Casa de Velázquez : Différence entre versions

De Encyclopédie : Brigades Internationales,volontaires français et immigrés en Espagne (1936-1939)
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Ainsi appelée, car selon la légende, Velazquez venait y peindre ses ciels lumineux, elle est située dans la Cité universitaire.
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Ainsi appelée, car selon la légende, Velazquez venait y peindre ses ciels lumineux, elle est située dans la Cité Universitaire (voir [[Ciudad Universitaria]]).
 
   
 
   
 
Prise par les unités franquistes lors de la [[Bataille de Madrid]], elle fut fut l' objet de de nombreuses contre-attaques républicaines, sans résultat.
 
Prise par les unités franquistes lors de la [[Bataille de Madrid]], elle fut fut l' objet de de nombreuses contre-attaques républicaines, sans résultat.

Version du 22 janvier 2023 à 18:33

Ainsi appelée, car selon la légende, Velazquez venait y peindre ses ciels lumineux, elle est située dans la Cité Universitaire (voir Ciudad Universitaria).

Prise par les unités franquistes lors de la Bataille de Madrid, elle fut fut l' objet de de nombreuses contre-attaques républicaines, sans résultat.


Une tentative par le Bataillon André Marty est décrite par Raymond Hantz

« Le lendemain même, sur la Casa de Velázquez une attaque est tentée. Idiote en elle-même. Les copains devaient se précipiter sur cette maison, à travers un terrain plat, arrosé par les mitrailleuses.

Il avait été prévu que les tanks nous aideraient. L’attaque devait avoir lieu à 8 heures. Les tanks devaient arriver à ce moment (ils sont arrivés à midi). Sans tanks, à 8 heures les camarades s’élancent à l’assaut. Ils sont accueillis par un tel feu, que de suite une vingtaine - dont le camarade Marcel FLOMINE commandant de la Compagnie des voltigeurs (2è C°) tombent hachés par les mitrailleuses. Naturellement cette attaque est manquée. Il aurait fallu les tanks et des grenades. Rien de tout cela et nous n’avons pu que déplorer la disparition de ces vingt camarades comptant parmi les meilleurs. Les tanks arrivent à midi, tirent quelques coups de canon su la Casa Velazquez, démolissent une mitrailleuse fasciste et s’en vont. » ( Mémoire p.8) <:blockquote>